Blog de voyage

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Si tu vas à Rio…

Si tu vas à Rio, n’oublie pas de monter là-haut…

Ce tube chanté par Dario Moreno sur toutes les radios en 1958 a bercé nos jeunes années. Là-haut indique Madureira, un quartier pauvre de la zone nord.

En bons touristes, nous nous sommes contentés d’emprunter le funiculaire pour nous hisser sur le morro Corcovado (715 m), colline qui porte le Christ rédempteur visible d’un bout à l’autre de Rio, une statue de 33 m qu’on doit au sculpteur français Paul Landowski.

Autres points forts de notre visite : le jardin botanique, qui manque cruellement d’indications sur les espèces d’arbres et de plantes, le centre ville et sa grande avenue le Rio Branco, plantée d’immeubles impressionnants, la promenade le long de la baie de Guanabara en bordure des quartiers de Botafogo et Flamengo, qui s’étend le dimanche aux avenues interdites aux voitures, le musée d’art moderne…

Les transports dans cette immense agglomération, où l’on doit parcourir au minimum 10 km pour se rendre ici ou là, méritent que nous en disions quelques mots. Le métro et le tramway, très récents, ne peuvent servir que si on est logé à proximité d’une station ; le téléphérique et le funiculaire pour les lieux touristiques ; le taxi n’est pas cher, mais, compte tenu de la circulation, des longs détours imposés par le relief accidenté et de l’étendue de la ville, mieux vaut ne l’utiliser qu’en dernière extrémité.

Reste le bus, d’autant plus intéressant pour nous autres seniors qu’il est gratuit.

Mercedes à dû faire de bonnes affaires avec Rio, car il y a des milliers de bus qui sillonnent la ville du matin au soir. Lorsqu’on attend à un arrêt, on en voit passer des dizaines en quelques minutes, avec souvent des destinations identiques. La gestion du trafic laisse à désirer… Quant à savoir lequel prendre, il faut un peu d’agilité intellectuelle, tant l’affichage peut être déroutant. Entre les numérotés et ceux qui portent des indications comme Circular, Troncal ou BRS 1 2 ou 3, on se demande toujours où on va atterrir, du moins, au début. Il faut aussi s’attendre comme souvent au Brésil à une conduite sportive sur un revêtement assez inégal.

Nous avons à présent (20 novembre) regagné le Paraiba, retrouvé Mindelo en bonne forme et bonne surprise le câble d’alimentation de l’ordinateur était arrivé de Rio, ce qui va nous permettre de vous décrire Ouro Preto, Belo Horizonte et Salvador da Bahia… un peu plus tard.

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